Habib Ould Mahfoudh avait au fil des ans créé une sorte de club au journal Al-Bayane d’abord puis au Calame. C’est en fait, en plus de ses amis, des connaissances, des visiteurs étrangers de passage… Tout un beau monde que réunissait autour d’un thé toujours « relancé » un penchant pour la culture et une foi dans la démocratie.