
En Mauritanie, le pouvoir n'a jamais été exercé au nom d'une race, à savoir les Arabes. Cette dimension est bien secondaire. Autrement, aucun Beïdane ne serait opposant, et aucun coup d'État ne serait perpétré. Et tous les Beïdanes seraient unanimes pour dire : 'Notre race est au pouvoir. Que voudrions-nous de plus ?'